diarmonid médical
DIARMONID MÉDICAL conçoit et fabrique des dispositifs visant la simplicité, l’optimisation de la sécurité alliée au confort répondant à une réelle problématique du terrain et pour lesquels il n’existe parfois pas de solutions.
Elle propose une offre globale de solution lié à un problème de sécurité, confort ou prévention pour les patients et visant avant tout à améliorer la qualité de travail du personnel soignant.
Les premiers dispositifs sont accès sur les services de dialyse apportant une sécurité et un confort en réponse à une problématique gravissime resté dès lors sans solution fiable.
Le Monitoring Hors-Veineuse
Universel
S’adapte à toutes les morphologies de patients
Non-invasif
S’adapte à toutes les morphologies de patients
Intuitif
Simple d’utilisation et prise en main facile
Ergonomique
Apporte un meilleur confort au patient
Nettoyage facile
Possibilité de nettoyer avec des produits hospitaliers usuels
Surveillance post-dialyse
S’utilise en salle d’attente pour prévenir des saignements
Ils nous font confiance
Témoignages d'accidents SANS le MHV
Avec le MHV : Nos expérimentations terrain ont permis de recueillir une information essentielle : la nécessité et l’urgence de prendre en charge la problématique de la Désinsertion d’Aiguille Veineuse (DAV).
Certains ingénieurs biomédicaux relatent que la DAV représente un risque non maitrisé malgré les protocoles existants internes à chaque centre.
Nos solutions permettent d’apporter les réponses attendues en maitrisant les problématiques liées à la DAV : douleurs scapulo-musculaires, arrachement des aiguilles, stress inconscient, meilleur prise en charge et surveillance du patient, évite le risque de transfusion, réanimation et chocs.
Un patient s’est rendu compte du délogement de l’aiguille veineuse et à appeler l’infirmière. Celle-ci, encore en formation (3ème année) à effectuer un point de compression pour faire face à l’hémorragie spectaculaire. L’aiguille s’est donc enfoncée dans la fistule artérioveineuse risquant d’endommager celle-ci mais aussi de piquer l’infirmière. Le pire a été évité car le patient aurait pu notamment être porteur du VIH.
Marie D.
Néphrologue
Je viens de brancher mon dernier patient assez âgé mais autonome, installé sur un fauteuil. Je lui propose d’allonger son dossier afin qu’il soit à l’aise, il me répond qu’il sait le faire lui-même ; chose vrai.
Puis je me dirige dans la salle des réserves pour préparer le matériel des prochains patients (ce que font toutes les autres infirmières dès qu’elles terminent leurs branchements). J’entends alors ce patient m’appeler en criant très fort, paniqué et tétanisé de ne pouvoir rien faire en voyant son sang se déverser sur le sol sous le regard des autres patients choqués de la situation.
Heureusement qu’il ne s’était pas allongé 5 mins après…
Monique H.
Infirmière de dialyse
La mort d’une patiente insuffisante rénale chronique qui était hospitalisée en service pour une infection, alors que cette patiente se trouvait dans la salle de dialyse « isolement » l’aiguille veineuse s’est délogée et a déversé le sang dans le lit et sur le sol. L’équipe s’en est aperçu lorsque la machine s’est mise à sonner pour dire qu’il n’y avait plus de sang à aspirer.